| | | Mar 24 Jan - 13:41 Admin A DÉFINIR
- Toutes les sous zones de rp, avec maybe une description totale ou minimale comme ça c'est fait;
- Une image représentative du lieux.
- Penser à mettre des lieux insolites genre a la plage/foret toussa histoire de pimenter le truc ?
Cliquez sur la carte pour la visualiser en plus grand Villes-mères : Forlasea, Avanam, Caburh, Higrove. Réserves : Dola, Rebrook, Siali et Korde. Mines : Japuri, Sedon, Estow, Weefalls Note : idée de lieux.QG, Porte (genre entrée dans la ville), Musée, Usine, Grotte, Mont jspquoi, Bunker, Ile de ... Ecoles, Gares (routières), base militaire, ruines, place, centre commercial, ambassade, boite de nuit, rues, parc, marché noir, restaurants, bars, boutiques, sociétés, hotel, palais/chateau, bibliothèque, côtes, plage, zone agricole, terre désertes, théâtre, salle de conférence, casino, métro, mairie, gymnase, hopital, parc d'attraction/fête foraine, jardins, rivières/lac/étangjspquoi, Golf, Catacombes (lieu invi ?), pont, navire échoué, ferry, salle d'arcade, marché, piscine, cimetière, cathédrâle/église, bowling, patinoire, temple, tunnel (lieu invi ?), salle de concert, base navale, salle des glaces, truc sous la mer pck oééééééé, truc scientifiques/d'essai, fondation jspquoi, prison, aquarium, souterrains/égout.... |
| | | Mar 24 Jan - 13:42 Admin J'met des images pour tout au cas où mdr. TAILLE GRANDE IMAGE : 170*130 JE CROIS. AUTRE IMAGE : 65*190. - TERMINE:
>>> ELIAPEHE : Ville-mère : Caburh www
- Spoiler:
>Centre-ville. www>>Théâtre des Hommes www—Coulisses www—Salle de spectacle www—Hall www>>Palais d'Eliapehe www—Salle de conférence www —Salle de réunion (seulement pour gouvernement) www >>Boulevard du Faubourg www — Bar "Le Dust" www— Cinéma du Petit Pas www — Boîte de nuit "Le vent" www— Commerces divers des joueurs. www
- Spoiler:
> Quartier d'Eban www>> Zone résidentielle www>>Hopital St. Jom www—Chambres www— Souterrains (pour les traîtres)www >> Faculté www — Bâtiment principal www — Réfectoire www> Quartier Plinc www >> Zone résidentielle www>> Centre commercial www — Point de rencontre www>> Gare www> Bord de mer www >> Pont du Levant www
>> Village des pêcheurs www
>> Plage de l'Azur. www
>> Port. www
- Spoiler:
Mines : Weefalls www> Centre-ville www>> Place des Anciens www — Grande horloge www>> Casino www >> Centre culturel www — Bibliothèque www — Archives (invisible, seulement pour des gens qui ont une mission, ou qui ont trouvé une porte dérobée). www> Quartier d'Isit www>> Rue de la Cinquième Infanterie www— Restaurant rétro "ô 50's" www — Boutiques diverses (joueurs). www >> Musée www — Salle d'exposition permanente www— Sous-sols. (reliés aux souterrains de l'Hopital St. Jom. invisible). www — Réserve : Rebrook www
> Etang www
>> Parcours aquatique www
> Base Militaire. www
>> Bunker www
>> Centre d'entraînement www
—
Autres lieux www
>> Mont Quareth www — Grotte perdue. www
>> Forêt de la Treffe. www — Arbre des pendus. www
Description (dans l'ordre)
- here:
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Sous une allure d’un New-York aux bâtiments livides, Caburh héberge un grand nombre d’hommes et de femmes ambitieux et courageux. Principale ville du territoire d’Eliapehe, elle a su faire revivre au fil de ces dernières années des passions disparues sous le joug de la guerre.
Animé et entraînant, le centre se décompose en plusieurs boulevards perpendiculaires. Qu’il fasse nuit ou jour, une douce mélodie se propage d’entre les parois des bâtiments. Souvent bien fréquenté, par de riches entrepreneurs on retrouve toutefois des malfrats près à agir.
Le Théâtre des Hommes est l’ode est à la culture et l’amour. Chaque soir des représentations sont données, parlant des sujets plus légers que la guerre et le sang. Des scènes d’amour cultes ou des pièces spécialement écrites pour cette scène. Il y en a pour tous les goûts.
Elles ne valent rien, des murs encombrés, un plancher défaillant et une lumière pâle qu’elle empêche de voir la majorité des choses. Seuls les comédiens s’y retrouvent entre deux répétitions, à l’exception de certains curieux un peu trop curieux.
Grandiose. Epoustouflant. Les applaudissement rugissent déjà et la foule se lève. Quelques-uns sont parti avant d’avoir à faire avec la foule, certains attendront jusqu’à la fermeture du rideau. Le billet en poche, le regard admiratif, il vous suffit d’admirer.
C’est un couloir lumineux et vide qui accueille la foule. Loin des escaliers royaux et des portraits pharamineux, on ne voit que de larges fenêtres aux colonnes entourantes, quelques lustres et à fréquence régulière de jeunes artistes déambulant allègrement.
Situé au coeur de Caburh, entouré par un coin de verdure, le Palais d’Eliapehe fait office de mairie pour tous les habitants de Sajna. Il se démarque par son architecture ancienne et ses sculptures. C’est aussi dans son enceinte qu’ont lieu de multiples conférences aux allures d’un gala.
Derrière une petite porte aux écritures dorées, on accède à cette salle à trois étages basé sur les salles d’Opéra. Pouvant accueillir près de trois milles personnes, cette salle de conférence est la plus grande du territoire d’Eliapehe, faisant parfois office de scène lorsque celle du Théâtre ne suffit plus.
L’accès vous est strictement réservé, à vous, gouvernement d’Eliapehe. Trop peu de gens connaissent son existence et pour cause : la majorité des décisions politiques sont prises ici même dans le secret le plus total. La porte d’entrée se trouve dissimulée derrière un couloir au verrou particulier. Prenez donc place, et débattez mais surtout… Signez !
Il s’agit de la rue la plus animée de Caburh et peut-être même de tout le territoire. La foule grouille sous les bâtiments blancs tandis que les voitures s’attroupent derrière les feux. On y trouve de tout : de la restauration à l’habillement en passant par le divertissement. Cependant, des pick-pockets s’y baladent aussi avec vous et ils ne volent pas que des sacs.
Le Dust était à l’origine un petit bar de quartier un peu mal fréquenté mais depuis l’essor de la population sur Sajna, il est devenu très prisé et offre désormais un service de brasserie les journées d’été. Des tables en extérieur sont proposés, les serveurs sont chaleureux et le sourire toujours aux lèvres pour vous faire passer le meilleur moment.
Ce cinéma est le seul que l’on connaisse. Pas moins d’une dizaine de salle toutes au goût un peu rétro du propriétaire projetant des films venus tout droit du continent. Ces derniers sont souvent projetés plus souvent dû à la lenteur d’arrivée des oeuvres. Néanmoins, il n’en reste pas moins un bon lieu de divertissement.
A première vue, c’est plus un bar lounge qu’une boite de nuit et pourtant. Le Vent à su se faire un nom dans le milieu grâce à sa clientèle de qualité et son ambiance cosy tout en restant luxueuse. Le bar offre toute sorte de cocktail et il paraît même que des salles privées sont disponibles pour les habitués.
Non loin du Boulevard du Faubourg on retrouve cette petite rue au charme indéniable. Ici, vous pouvez ouvrir votre boutique sans crainte et avec l’assurance d’y réussir. De plus en plus les boutiques se font rares dans le coin, il ne faudrait pas y manquer, n’est-ce pas ?
- Spoiler:
Aux abords du centre-ville se dresse quelques toitures rougeâtres qui présente le quartier d’Eban. Des résidences calmes et sobres, des habitants souvent parents ou grand-parents y logent pour sa vue imprenable sur les contrées alentours et sa sécurité sans faille.
En dehors des maisons individuelles, de beaux immeubles quoique bas, se sont retrouvés dans ce quartier. Modernes et fonctionnels ils occupent une large place et font d’Eban le premier lieux d’achat pour une reconversion au sein de l’île de Sajna.
De verre et d’acier, surplombant la ville, l’hôpital Saint Jom est le plus réputé. Erigé en l’honneur de soldats morts au combat, il prend en charge les visites de contrôle comme les accidents les plus graves. Certains rapportent même que les infirmières seraient particulièrement belles.
Les chambres accueillent deux patients et ont tout ce qu’il faut pour assurer leur bien-être : télévision, fenêtres, bureau, salle de bain associée. Les visites sont autorisées sous l’autorité du médecin en charge mais évidemment, qui s’oblige à respecter la règle ?
Il n’y a que toi, personnage de l’ombre, qui puisse comprendre ce qu’ils font. D’où ils sortent. Toi seul peut suivre ces souterrains reliant différents coins de la ville. Tu ne sais pourtant pas pourquoi ils sont ici ni même qui les à conçu. Espionné ou espion ? A toi de choisir.
Il arrive que certains ne veuillent pas se détacher de leurs études, et ainsi la faculté fut créer. Nichée dans un bloc entre la 4ème rue et la 5ème au Sud du quartier, elle accueille les plus jeunes comme les plus vieux adultes afin de leur procurer une formation nécessaire à leurs ambitions.
On ne le remarque pas de suite, mais son entrée fleurie attire l’oeil. Le bâtiment principal n’est pas très grand mais il suffit pour assurer la majorité des cours bien qu’il s’agisse d’un ancien entrepôt. Entre mathématiques, physique, droit et économie, le choix ne peut être que difficile.
Quand sonne l’heure du midi, tous se réfugient au réfectoire. Un menu pour un prix plus que raisonnable et des tables qui s’enchaine jusqu’à ne plus voir le sol. Il arrive qu’il serve de salle de révision après les cours pour les plus malchanceux qui n’auraient pas un calme suffisant chez eux pour pouvoir travailler.
Quartier de la démesure et de l’ancien, Plinc s’est transformé en véritable industrie du divertissement. Ici, tout a été construit selon des anciens plans des années 1880 et dénote avec le reste de la ville. Lieu de l’extravagance et de l’exagération, des spectacles de rue sont souvent organisés par des artistes amateurs.
Quelques amoureux de ce quartier se sont installés dans des maisons de ville, maisons souvent en hauteur et très étroites. De brique rouges ou blanches, elles laissent planer un calme invraisemblable dans ce quartier pourtant bruyant. Beaucoup de colocations sont établis, car il faudrait être nanti pour acheter de son plein gré.
Plus à l’Est on retrouve cette place pavée aux tours de verre. Ouvert toute la semaine de 8h à 22h, le centre commercial est un parfait endroit pour passer le temps ou rencontrer des gens. Il s’organise sur six étages tous quasi identiques et aux bords arrondis, laissant toujours cet espace sur le rez-de-chaussée.
Personne n’avait trouvé mieux comme nom. Sorte de place interne au centre, elle donne vue sur tous les étages à la fois, des places grimpantes l’entourant. Le point de rencontre est cet endroit fabuleux où les enfants retrouvent leur parents, où les amis se retrouvent, où les comptes se règlent…
Il arrive sur le quai et tous descendent du train. La gare de Caburh propose de nombreux trains à destination des autres villes du territoire ou même des villes-mères des autres territoires, sous conditions. Evidemment, très peu de personnes osent y mettre le pied, surtout en temps de guerre.
Une grande étendue d’eau qui se prolonge jusqu’aux côtes ennemies. Des maisons sur le flan de la colline qui aboutissent sur une plage merveilleuse, des maisons peu ordinaires. Il est néanmoins plus agréable de s’y promener en été plutôt qu’en hiver lorsque la neige laisse une épaisse couche de verglas.
La mer a su se frayer un chemin entre deux parcelles de terre d’où la construction de ce pont donnant à l’Est. Emprunté par automobilistes et piétons, il mesure une douzaine de mètre. Parfait pour les photographes en herbe ou les balades amoureuses, il n’en reste pas moins lieu de conflit entre brutes.
Il pourrait être un quartier à lieu seul mais seules quelques maisons en sont réellement représentatives. L’odeur de poisson, des bateaux colorés et des pontons en bois qui accueillent les arrivées du jour. A la sueur de leur front les pêcheurs gagnent leur vie, se levant tôt et se couchant à la tombée de la nuit.
Un sable fin et blanc sous une écume crème. La plage de l’Azur entoure une bonne partie de la côté, certains disent même que l’on peut accéder au territoire ennemi en la longeant, d’autres affirment que des falaises barrent le chemin mais tout ne reste que légende urbaine, puisqu’ici on préfère se faire bronzer.
Plus loin, aux abords de la ville, un quai terne guide les premiers arrivants vers leur première journée. Tous les trois mois, il est le lieux d’innombrables applaudissements et accueils, des proches venus chercher les leurs, d’autres curieux simplement là par plaisir de découvrir qui pouvait être les fous venus sur cette île.
Au milieu de bois incessant, se dresse cette tour singulière qui annonce la ville de Weefalls. Pilier économique du territoire d’Eliapehe, elle n’est accessible que par voie terrestre du fait des nombreux obstacles et de l’absence de la mer. Pourtant, les habitants semblent bien s’y porter, oubliant qu’ils sont isolés. Le centre de la ville est un assemblage de maison colorées, aux lucarnes proéminentes, aux pavés grisés. D’une clarté sans précédent, il est occupé toute la journée par des touristes venus de la ville-mère ou encore des habitants qui n’ont rien de mieux à faire que de se prélasser. La place des Anciens doit son noms aux premiers arrivant qui s’installèrent principalement à Weefalls. Encerclée par trois côté, elle ne donne qu’un accès large faisant face à la grande tour. Beaucoup de magasins se sont attribués la place, notamment des disquaires, des apothicaires et bijoutiers. Cette grande tour, s’appelle en réalité la Grande Horloge. Pointant le ciel et indiquant l’heure de ses quatre côtés, elle s’illumine la nuit et caractérise la ville. Certaines rumeurs tendent à dire qu’elle renferme le secret du pouvoir mais personne n’a jamais su le démontrer, pourtant des petits curieux continuent d’investiguer. Il vous aveugle dès votre premier pas : des colonnes d’or, une fontaine lumineuse et un vacarme de machine qui résonne. Le casino est le lieu le plus prestigieux de la ville, rapportant une somme importante pour permettre la prospérité. Black Jack, Poker ou machines tout est à disposition, sauf la tricherie. En amont de la rue, en direction du quartier d’Isit on peut apercevoir ce bâtiment aux grandes fenêtres. Il s’agit du centre culturel. Entre documentation et représentation, il expose aussi des travaux de jeunes artistes, accueille des présentations temporaires sur différents sujets. Si l’on parcourt de long en large le bâtiment, on verra rapidement que ses murs sont remplis de livres sous une voute légère. Cependant, la véritable bibliothèque se trouve au dernière étage et s’organise en une multitude de couloirs parallèles pour permettre à tous de circuler plus facilement. Derrière la porte dérobée, on pénètre dans un couloir sombre et étroit aux vieux papiers. Personne ne connait cet endroit, personne à l’exception de ceux qui ont placé ces documents. Alors ? Précieuses informations ou vérités falsifiées, qu’allez-vous trouver et surtout qu’allez vous croire ? En quittant le centre, de petites ruelles aux allures étrangères donnent sur des croisements à l’infini. La plupart ne montrent pas de porte d’entrée ni même de fenêtre et c’est à se demander s’il s’agit de décoration ou de véritables habitations. Quoi qu’il en soit, peu de gens vivent dans le quartier, préférant le centre-ville. Différente de toutes les autres, elle possède des devantures en bois et est aussi la rue la plus habitée car la plus longue, faisant office de zone résidentielle. Logements, restaurants et commerces sont à disposition, faisant alors du quartier un lieu inanimé en dehors de ce lieu si dense. On ne peut pas le rater : un gros néon illumine la boutique. Un an déjà que le ô 50’s a ouvert ses portes. Inspiré des années cinquante, il dénote pas sa décoration typique et ses plats plus que gras. Hot dog, hamburgers et cocktail en tout genre son proposés. Allumez le jukebox et déchainez-vous. Si vous cherchez un endroit où installer votre commerce, vous êtes au bon endroit. De charmantes pièces prêtes à être décorées et aménagées selon vos désirs. Vêtements, fleurs, montres, horloge ou même chapeaux, il vous suffit d’un peu d’imagination pour que tout devienne réel. On se demande ce que bien être ce bâtiment ressemblant à un château, finalement on s’approche et l’on remarque qu’il s’agit simplement d’un musée. La culture d’Eliapehe veut que tout Homme sache ce qu’est l’art : littérature, sculpture, peinture et musique, tout est bon pour donner un minimum de culture aux habitants. Tout va crescendo, on avance dans l’ère classique puis moderne en passant par la contemporaine. Quoi qu’il en soit, il y aura forcément de quoi ravir votre regard si ce n’est votre être. Etonnement et admiration, découverte et renouveau, il est facile de se laisser emporter par l’atmosphère étrange de cet édifice. Peut-être t’es-tu déjà perdu dans un de ces souterrains ? Si c’est le cas, tu es de ceux que l’on nomme traître. Tu connais ce que les autres ne connaissent point, tu regardes ce qu’ils ignorent. Tu as la possibilité de fuir tous les regards, de rejoindre villes d’ailleurs par ces chemins, sans être dérangé. Dans le creux d’une chaîne de montagne, on raconte que le soleil frappe un flan et se reflète sur l’étang à sa naissance. Difficilement accessible faute de moyens, Rebrook sert de base militaire et permet aux soldats un entrainement de qualité en alliant endurance, effort physique et mental d’acier. L’eau semble dorée dans cet étang à l’air pur. Jamais aucune vague, seule une brise délicate qui vient frapper les vêtements de ceux qui s’y aventurent. Quelques passants. Quelques touristes. Quelques réfugiés. Vue merveilleuse sur les montagnes alentours, il arrive que des faits inexplicables se produisent, sans que personne n’en parle. A la nage ou à bord d’une barque, le parcours aquatique est destiné à renforcer les capacités navales des militaires. Composé en différents exercices, il est possible d’apercevoir des courageux l’effectuer seul ou en groupe pendant des entraînements. Les seuls qui ont osé le faire de leur gré ont échoué. Des convois blindés, un lieu géométriquement rangé. Voilà la vie perpétuelle des volontaires armés qui sont venus vivre ici. Entre logement de fonction, cantine, salle de sport et salle de tir, tout est préparé méticuleusement. De nouvelles têtes arrivent fréquemment, tandis que d’autres partent sans prévenir. Inaccessible sans y être inviter, le Bunker est l’endroit détesté. Il fait parti de nombreux test, mais cette fois, il dure près de six mois. Six mois enfermés dans un bunker sans aucune possibilité d’y sortir. Du moins c’est ce qu’on raconte, car personne n’a jamais su si des militaires y étaient réellement entrainer, ou des civils enfermés. Elle vise à former les militaires restant à l’écart. Les mécaniciens aussi, tout comme les stratèges. Seule partie plus technologique que le reste, elle permet de relier le terrain naturel aux ordres indiqués depuis cette salle. Des simulations peuvent aussi être produites par projections holographiques. Voyageur ? Voyageuse. Prépare donc ton sac et prépare-toi à explorer les contrées perdues du territoire. Tu pourras chuter, tomber sur des endroits fabuleux mais n’oublie pas que ta première mission ici est de survivre. De mener ton peuple à la victoire. Résiste aux tentations, ne te fais pas attraper. Au nord de Rebrook, un pic fait face aux autres. Le Mont Quareth a été créer artificiellement et permet aux amateurs de pratiquer du ski en hiver ou de la randonnée en été. Du fait de sa solidité incroyable, il est possible de l’escalader sans risquer une chute vertigineuse qui couterait la vie. Par un petit chemin, on trouve une entrée sombre. Personne auparavant ne l’avait jamais vu, et personne ne sait non plus de quoi il s’agit. D’ailleurs personne n’a osé y aller par peur de tomber sur des choses qu’ils ne devaient pas voir. C’est un choix, il en va d’une réflexion intense. N’y aller pas seul. A l’extrême ouest du territoire, face à un océan déjanté, on peut se promener dans la forêt de la Treffe. Parsemées d’arbres divers, d’une rivière où viennent se rafraichir des animaux sauvages, il est lieu de divers repas comme explorations. Quelques cabanes d’enfant persistent, et seul le Temps sera les enlever. Il apparaît comme une légende. L’arbre aux racines fluorescente, aux longues branches pendantes et pour ces raisons cela lui à valu le surnom d’arbre des pendus toutefois personne ne sait vraiment si des gens ont déjà mis fin à leurs jours à cet endroit. Et personne n’ose y rester longtemps par peur d’y rester.
Images de : Zhuzhu | Arsenixc | FeiGiap Henrikevensen | Guweiz | Dawnpu | Greegw | Phoenix-Feng | Tylerdlinart | RHADS | Peteamachree | Fox-orian | Artcobain | CoconutMilkywat | Loundraw | Scummy | Real-Sonkes | Snowskadi | Kskb | Thomas Romain | Cryptid-Creations | Joakim Olofsson | JonasDeRo | jaseelye-d4pbwoj | atomhawk | mintyfreshmangos | andreasrocha | Nokiramaila | mbgreen | shevans | axl99 | mercurycode |
| | | Mar 24 Jan - 13:42 Admin - Spoiler:
>>> AKIKOS : Ville-mère : Higrove www
- Spoiler:
>Centre-ville. www>> Place Sainte www— Taverne www— Marché www>>Cathédrale de la Madeleine www— Catacombes (invisible) www>> Maison Close www— Chambre rose. www > Quartier de la dévotion www
>> Zone résidentielle www >> Parc de la Génèse www>> Cimetière www— Catacombes (invisible) www > Quartier du culte www
>> Zone résidentielle www >> Bibliothèque www — Archives (invisible, débloqué par mission/autorisation staff)www>> Gare www
- Spoiler:
> Aux alentours www>> Remparts www — Porte des Anges www>> Lac de la Piété www— Temple d'Atlantide. www Mines : Estow www> Centre-ville www>> Couvent www — Allée du savoir www>> Château Fielos www— Salle des glaces (invisible) www— Jardins www— Oubliettes www> Quartier des Cardiaux www >> Zone résidentielle www>> Marché noir www>> Auberge www> Lac Rilique www— Ponton des souvenirs www — Oeil du Diable (invisible) wwwRéserve : Siali www> Camp militaire www>> Terrain de combat www> Ruines www>> Catacombes (invisibles) www> Bord de mer www>> Port www— Autres lieux www>> Zone agricole www — Ferme d'Akikos www>> Falaise du blasphème www- DESCRIPTION DANS L'ORDRE:
Sur les bords du lac se dresse une ville à l’architecture orientale, ville surplombante et magistrale créée par un encastrement de diverses tours brunes à créneaux. Ville-mère d’Akikos, Higrove est un symbole de la théocratie d’aujourd’hui.
Derrière les remparts, un centre aux dômes d’or ou de bleu s’offre aux habitants. Les rues sont la scène de commerces ambulant, de spectacles de rue. Au loin dans le ciel un édifice remarquable s’élève, guidant les fidèles vers la raison.
Epicentre de la vie d’Higrove, la place Sainte est prisée lors de fêtes commémoratives et des annonces officielles. La fontaine qui y git est considérée comme sacrée et son eau vitale, permettant soi-disant de prévenir des maladies.
Plus grande qu’elle n’y parait, la taverne est sans cesse remplie. Ici, on y règle des affaires personnelles, on vient se détendre ou l’on demande son chemin lorsque l’on est étranger, mais on vient surtout y manger son fameux ragoût.
Akikos est un territoire où l’industrie n’est pas la plus bien vue. Tous les habitants vivent des ressources naturelles de leur territoire et le marché en est la preuve. Fruits frais, légumes, poisson ou même viande, on trouve de tout selon les saisons.
Elle se remarque à des kilomètres à la ronde, la Madeleine. Première construction d’Higrove, elle est de loin le monument le plus élevé. En son intérieur, des lumières bleutées, des statues saintes et régulièrement, des célébrations.
Tu y découvriras la vraie nature de ce territoire, âme errante. Seuls les plus perdus se retrouvent dans les catacombes. Ceux qui ne se reconnaissent point en le Christ, ceux qui préfèrent la victoire à la foi.
Au détour d’une rue, là où le lac rejoint la ville, une bâtisse grossière se présente. A sa devanture, des peintures de nu et en son intérieur, le palais de la jouissance. Les femmes y viennent sagement tandis que les hommes y prennent du bon temps.
Au sommet se trouve la chambre rose. Spacieuse et lumineuse elle est réservée aux clients les plus fortunés ou les privilégiés. Il arrive qu’elle soit réservée pour un couple ou des amants afin de profiter sans être épiés.
Somme toute, la pauvreté persiste. Le quartier de la dévotion en est la preuve : un bidonville. Des taules pour protéger les corps, des toiles en guide de couverture mais pourtant, tous semblent y vivre paisiblement.
Les rues sont étroites, tout est bancal. Du linge pend au fil des maisons et les enfants jouent sans se rendre compte de leur misère. Tout le monde se connaît, les rumeurs circulent à une vitesse foudroyante, mais l’on préfère se taire.
A la limite de la ville, des buissons argentés, des arbres majestueux et en floraison. Il était à l’origine la seule parcelle du quartier, puis à accueilli progressivement le bidonville. Il n’en garde pas moins son charme originel.
Les morts doivent reposer en paix. Ils ne doivent pas être troublés par la vie terrestre. C’est pour cela que le cimetière a vu le jour. Eparpillé sur un terrain boisé, des sépultures gisent, fleurs déposées sur leur pierre.
Traître de la prophétie, parcours ces tunnels parsemés de crâne, continue tout droit jusqu’à découvrir la lumière, si celle-ci existe. Garde à ne pas te perdre, car nombreux sont ceux qui en chemin on trouver la mort.
Les plus aisés y vivent, c’est un lieu de prospérité et de dévotion. La connaissance y règne ainsi que la bienséance. Il est souvent envahi par des gens en quête de solution et de savoir, mais aussi par des enfants souhaitant s’émanciper.
Ici aussi les rues sont serrées, mais les habitations sont élevées. Souvent construites sur des piliers, des commerces ont y élu domicile. Endroit discipliné, chacun respecte autrui par son intimité, les autres n’intéresse en rien.
La bibliothèque d’Higrove n’accueille pas seulement des livres mais aussi des instruments scientifiques. Il est possible d’y effectuer des expériences mais aussi de pratiquer les arts. C’est un lieu de partage et de passion.
C’est à faire froid dans le dos. Des tonnes de bouquins noircis, des lucarnes trop imposantes. Les archives possèdent de nombreuses ressources sur le gouvernement, sur le projet Toweld mais aussi sur chaque habitant, car c’est ici que toutes les fiches sont conservées.
Un petit quai trône fièrement, une fumée s’approche et alors arrive ce moyen de locomotion fabuleux. En direction d’Estow ou de Siali majoritairement, il effectue des arrêts supplémentaires à Demarch. Quelque trains des territoires ennemis y parviennent sans prendre de voyageur.
Higrove n’est pas qualifié simplement par sa ville, mais aussi par tout ce qui l’entoure. Entre plaine, forêt et montagne, quelques lieux emblématiques s’offrent à la population. Lieux hors de la ville et de son tumulte, portés par son propre temps.
Les remparts sont importants, ils constituent l’enveloppe même de la ville. Amas de construction en terre cuite, des créneaux sur leur dessus, ils protègent la ville des regards espions de l’extérieur et permettent une régulation des entrées.
Trois routes permettent un accès à une porte, mais celle des Anges est la plus utilisée. Elle est en réalité composée de trois arches successives donnant accès directement au centre-ville d’Higrove, par des chemins pavés et ensoleillés.
Les ressources de la ville sont prises du lac. Poisson, quelques plantations aux abords du lac et viande. Le lac est utilisé aussi comme lieu de bain ou de repos. Acteur de plusieurs rumeurs concernant un monstre marin, certains continuent de le traquer.
Quand on arrive au bord du lac, un sentier mène jusqu’à cette structure de plâtre et de fer nommée Temple de l’Atlantide. Destiné à être autrefois sur une île au milieu du lac, il a finalement été installé sur la rive pour permettre de s’y confesser.
La Cité Blanche, dite Estow, est sûrement la plus curieuse des agglomérations. De loin, elle paraît être faite de glace mais ce n’est que grace aux reflets, car elle devient beaucoup plus sobre lorsque l’on pénètre à l’intérieur.
Le centre est comme coupé en deux parties : les commerces et habitations emboitées et les bâtiments blancs et luxueux destinés à promouvoir la richesse de la ville. C’est un centre plutôt calme, loin des agressions barbares et de la violence.
Estow se veut pure, alors ici se regroupent de nombreux religieux, ou ceux qui voudraient le devenir. Le couvent héberge adultes comme enfants, célibataires comme familles et constitue un endroit majeur de la théocratie.
Par cette allée verdoyantes, se croisent les méditations des uns et des autres. Un silence infernal y règne, des corps baignés par la lumière changeante et au bout cette sculpture insolite représentant le savoir, la sagesse.
Aujourd’hui, tout le monde peut le visiter, mais aux débuts du territoire, il était l’abri des hauts religieux afin de contrôler l’épanouissement de la ville tout en restant en parfaite sécurité. Orné d’or et de pierres cristallines, il est immanquable.
Cachée comme une pierre précieuse, protégée comme le plus onéreux des biens, la salle des glaces est complètement engloutie sous des miroirs. On dit qu’ils renferment des reliques merveilleuses ou des documents démentiels.
Ses jardins sont appréciées par le plus grand nombre. Entre architecture et nature, des décorations subtiles viennent s’y glisser. On y retrouve toutes les joies d’un parc ordinaire à l’exception qu’ici, les grandes étendues sont rares.
Ceux qui font face au gouvernement se sont vu envoyés aux oubliettes. Cette prison infâme où les âmes étaient plongées dans l’obscurité sans vivres. Il est rare que de nos jours les gens s’y aventurent d’eux-mêmes et surtout qu’on y envoie qui que ce soit.
Pour remplacer le château Fielos, on a dû construire ce quartier. Toute la population y vit, mais les demeures sont en priorité pour les cardinaux ou les plus riches. Les autres trouvent souvent refuge dans le couvent ou chez l’habitant.
Les maisons sont de bois et de pierre, des toits en chaume. Le nombre croissant de demandes à forcer les constructeurs à opter pour des matériaux moins onéreux mais solides. Néanmoins, la différence de statut se ressent entre les divers parements.
Il est connu de tous, pour sa singularité ou ses activités mais personne n’y met terme, comme si chacun en avait besoin. Echange de faux papiers, de substances illégales ou même d’objets technologiques, tout est bon pour s’enrichir.
Les étrangers, qu’ils viennent d’Higrove ou Siali auront du mal à se loger en dehors de cette petite auberge. Elle ne propose que vingt chambres mais offre les repas et le blanchissement du linge. Les propriétaires étant souvent absents, ils laissent la garde à leurs employés.
Il mène tout droit au territoire d’Eliapehe, mais est en grande partie la propriété d’Akikos. Des barques voguent, des gens s’y baignent et grand nombre y vient pour s’inspirer ou profiter d’un peu d’air frais.
Le ponton des souvenirs a été baptisé ainsi suite à la visite d’un des cardinaux qui disait s’être rappelé de son enfance en le traversant. Légende urbaine ou vérité, il fait parti du folklore de la ville, là où l’on devient nostalgique.
C’est un grésillement irritant qui guide les passants vers lui. L’oeil du diable. Cette sphère aux inscriptions indéfinissables, ce concentré de technologie qu’aucun ne saurait utilisé. Pourtant, il semblerait que son utilité soit déterminante.
Bord de mer, des vagues frappent les remparts de Siali. Cela fait longtemps que les constructions n’ont pas été reprises, par peur d’une nouvelle tempête. Peu de gens y vivent, le climat étant difficile et les ressources inexistantes.
En bas de la falaise, un tube grossier de détache. Un accès direct dans la mer, un autre à la terre ferme. Ce lien est en réalité la base militaire d’Akikos, rudimentaire et peu spacieuse, elle reste le seul lieu des choix militaires.
Pour tous ceux qui veulent servir le Christ, il y a ce terrain sablonneux où l’on vous juge. L’entraînement est effectué contre des volontaires ou contre des animaux, mais jamais on ne met à mort l’un deux, sous peine d’être exécuter.
Tout a été délaissé à Siali, qui autrefois espérait devenir la Mine d’Akikos. Mais peu à peu les habitants se sont échappés, aspirant à une vie plus paisible, loin des catastrophes naturelles et des violences liées à la milice.
Les catacombes sont partout, elles relient Higrove à Estow et passent même par Siali. Cet accès n’est pas le plus utilisé, mais reste d’une grande aide lorsqu’il s’agit de rejoindre le centre militaire de ce territoire.
Des remparts maritimes qui séparent le reste du monde de leurs terres. Un trou géant telle une explosion dans ceux-ci qui mène au port. Aucune plage, aucun accès aux bienfaits de la mer puisqu’elle y est bien trop mouvementée.
Le port est étroit, mais plein de charme. Des pêcheurs y ramènent des provisions pour les vendre aux grandes villes, mais surtout c’est l’endroit d’arrivée de tous les heureux élus du projet. Premier pas sur leur nouvelle patrie.
Le territoire d’Akikos ne se limite pas seulement à ces trois villes, il regorge de champs, de montagnes et de forêts inexplorées. A pied ou à l’aide d’un moyen de transport, vous pouvez vous y rendre aisément.
La partie sud est essentiellement des champs, de grandes plaines quelquefois ensevelies sous des fleurs ou des plantations. Fruits, légumes, élevage bovin ou encore culture de fleurs, au fil des mètres, tout est visible.
Cette ferme est la plus grande car la seule. Des volontaires viennent y travailler durant une période données. Différentes tâches sont attribuées, production de laine ou lavage du lieu, une somme considérable est offerte à terme.
Sur les côtes, une falaise des plus inouïe. Un visage sculpté et des grottes effondrées ont donné lieu à ces arches de pierre. On ne saurait déterminé l’homme représenté, mais une chose est sûre : le lieux est extraordinaire.
IMAGES DE : shenfeic | Spex84 | rholdorf | lathander1987 | jungpark | jadrienc | J-Humphries | Natashu-sempai | sabin-boykinov | jonone | Saikono IMAGE SI ON FAIT UNE ZONE HORS DU TEMPS : www
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| | | Mar 24 Jan - 13:43 Admin BRUNHILDE VILLE MERE : FORLASEA www Centre ville : www>> Ambassade www — Salle des gouverneurs (invi) www — Domaine des réclamations www>> Square www — Restaurant www — Clinique. www — Kiosque à journaux www>> Fête foraine. www Quartier Lunz : www>> Résidences www>> Gare. www>> Stade www — Toilettes wwwPresqu’ile www>> Navire échoué. www >> Tunnel sous la mer (invisible, seulement pour les traitres)www >> Port www
MINES : JAPURI www Centre ville : www>> Avenue Dampen www — Fondation Laurier www — Bar "Her" www — Aquarium www>> Parc Victoria www >> Gymnase www Quartier Pourpre : www>> Résidence www>> Usine www — Salle des commandes (invisible seulement pour ceux qui y sont invités)www>> Décharge www RESERVE : KORDE www
>> Mont Ocre www — Cabane des alpinistes www>> Gouffre du Démon www>> QG de l’armée www — Salle des stratégies www — Salle de tir. wwwAUTRES LIEUX: www>>Terres arides. www>>Zone agricole. www— Arbre de vie. www- DESCRIPTION DANS L'ORDRE:
Forlasea est cette composition de tours sombres et ternes. Une ville d’apparence ténébreuse et sans vie où seules les lumières peuvent témoigner d’une certaine activité. Excès et démesure sont d’actualité dans la ville-mère de Brunhilde.
Le centre de Forlasea représente près des trois-quart de la ville. Des buildings vertigineux aux spot colorés, des routes qui se croisent et se superposent, c’est un labyrinthe lumineux de nuit et terrifiant de jour.
Comme le QG du territoire, l’Ambassade permet aux habitants de se faire entendre, d’obtenir des papiers ou encore de faire venir des proches sur l’île. C’est aussi dans son enceinte que des décisions majeures sont prises par les représentants du gouvernement.
Strictement gardée, la salle des gouverneurs est une salle de repos comme une salle de tension. Des querelles se résolvent ici tout comme sont discutées les propositions pour l’avenir du territoire. Conquête, amélioration du mode de vie ou encore régulation des effectifs.
Elle ressemble plus à un hall qu’à une salle mais le fait est que sa capacité d’accueil est de l’ordre de deux milles personnes. A l’instar d’une salle du trône, ici sont faites les réclamations du peuple, qu’elles soient personnelles ou collectives.
Dans les hauteurs se cache ce square étonnant. Pris au piège, il n’offre qu’une véritable entrée, l’autre étant dissimulée sous une tour de verre. Des taxis attendent les fêtards tard le soir, créant un embouteillage ciblé.
Il faut gravir les étages de ce building donnant directement sur le square pour atterir dans ce restaurant aux allures de fast-food. En réalité, la commande se fait au comptoir et il ne reste qu’à se poser au bord du monde en profitant du mieux que l’on peut.
Beaucoup s’y rendent pour cette raison. La clinique est la seule compétente du territoire, on y soigne des blessés de guerre comme des malades chroniques. Son intérieur est quasi vide, aux murs luisants et aux couleurs ocres.
Ce qui fait la charme de Forlasea, ce n’est pas seulement sa démesure flagrante mais son kiosque à journaux. Un dôme arrondi sur le dessus, des unes placardées sur ses murs, il vend tous les jours le magazine le plus lu de l’île.
La fête foraine s’assemble merveilleusement bien au décor : lumières aveuglantes et colorées, mécanismes à faire tourner les têtes. Entre amis, entre amoureux ou en famille, on peut s’y amuser de temps à autre.
Lunz est loin de la foule et du bruit permanent. C’est un quartier doté de petites demeures, espacées les unes des autres et aux larges rues. C’est un fabuleux repaire pour ceux et celles qui désirent s’installer durablement.
Majoritairement, on retrouve des appartements deux pièces, trois pièces. Il est rare qu’une maison soit achetée car, la superficie du quartier est assez petite et ne pourrait contenir autant de monde. Pourtant, certains cassent des murs pour s’approprier plus grand espace.
Les trains parcourent l’île en entier. On compte deux trains par jour pour les villes de Bunhilde, et un train tous les trois jours pour les ville-mères des autres territoires. C’est un lieu de rencontre entre ethnies, cultures et ennemis.
Près du centre, un colosse arrondi se dévoile. En y pénétrant, une pelouse verte fait centre à dex gradins. Concerts et tournois y sont organisés. Ceux-ci étant rares, il est la plupart du temps utilisé à des fins d’entraînement sportif.
Les hommes s’incrustent chez les femmes et les femmes fricotent chez les hommes, et cela a toujours été ainsi. Les toilettes du stade permettent à beaucoup de s’envoyer en l’air, d’échanger librement objets et informations, car aucune caméra n’y est installée.
Si l’on s’avance vers le sud, les côtes deviennent de plus en plus rocheuses, s’élèvent et ce bout de terre rattaché par un fil prolonge la ville. Un coin de nature perdu, un passage obligé pour tous dès leur arrivée.
Durant les premières expéditions, avant les premières vagues de civils, un navire s’échoua sur un banc de sable au large. Il n’est à présent plus qu’une épave parmi d’autres, bien que certains y recherchent de la valeur.
On ne sait pas où il mène, mais ce qui est sûr c’est qu’il n’y a que les traîtres qui connaissent son existence. De l’eau s’infiltre par le haut, puis s’évapore lors de la journée. Chemins étroits et sinueux, il ne faudrait pas s’y perdre.
Il accoste tous les trois mois, cette carcasse métallique et en sortent des civils qui, pour la plupart, n’ont pas choisi leur destinée. Arrivée dans cette ville brumeuse et mécanique, un accueil peu chaleureux.
Japuri c’est cette citée aux milles fumées, aux ponts délabrés. C’est cette économie flambante sur le pétrole, sur les barils vendus aux ennemis. Des ouvriers exploités, des familles à la recherche d’une richesse certaine.
Des successions d’arches en ferraille, sur lesquelles vibrent de trains, des passants et sous lesquelles grouillent des voitures et des commerces. Nombreuses sont les sociétés s’étant établis à Japuri.
Dampen n’a rien de différent dans son allure, tout aussi banale et peuplée. Cependant, elle se démarque par ses commerces de haute qualité, ses nombreux lieux de restauration et sa clientèle plus qu’odieuse.
Merlin Laurier est le symbole de l’évolution de Brunhilde. Cet homme a créer sa franchise sur une majeure partie du contient et l’a exportée sur Sajna. C’est le lieu de la curiosité, des inventions extravagantes et de l’inspiration.
Her, c’est une mélodie douce, un hommage aux années passées et à la révolution. C’est une marche pour l’égalité, pour les femmes, pour les hommes, pour un régime différent. Les noms des cocktails sont des prénoms, des prénoms criant à l’avancée.
On ignore souvent trop de la faune et de la flore qui entoure l’île, mais l’idée est venue de récupérer des espèces à son large. Des bassins florissants où dansent baleine, requin et tortues. La représentation de l’océan qui emprisonne.
Des bancs tous les cent mètres, des arbres correctement alignés et des lampadaires à la projection agressive. Un parc des plus normal aux sentiers tracés, à l’autorisation de piétiner la pelouse et à l’amertume de la vie.
Ils prônent la victoire, qu’elle soit militaire, politique ou sportive. Il n’est donc pas rare que les enfants se retrouvent enrôlé dans un sport dès leur plus jeune âge afin de devenir des champions hors pair, reconnu par l’autocratie.
Le quartier pourpre s’apparente à Forlasea mais est empourpré dans des lumières dorées durant la nuit. Extension directe du centre de Japuri, il offre un large choix de logements et de divertissement, en couplant le tout avec l’industrie.
Les loyers sont très demandés et bon marché. De grand duplex ou des petits studio, tout est trouvable. Les derniers étages sont souvent réservé à un espace collectif où la copropriété peut s’entretenir.
Il y a plus d’une centaine d’usine, mais celle-ci est la plus importante, la plus impressionnante. Elle est séparée en différentes parties : textile, raffinement, alimentation. Elle est sans cesse en activité, toutes les cheminées embuées.
Personne n’y a mis les pieds depuis une éternité. Des rouages, des boutons grossiers et des tableau de bord, tout est contrôlable d’ici. Toutefois, toutes les usines sont régies par un centrale commune, mais appuyez et vous ferez des miracles.
En marchant quelques kilomètres, cette aire de jeu est visible : voitures, déchets, bois, meubles. Une vraie mine d’or. Des junkies y établissent des réunions, des jeunes décident de s’y perdre et il permet à certaines personnes de dégoter de vraies trouvailles.
Entre plaine et montagne, Korde est un village presque désert. Il n’est qu’une base de passage pour touristes ou militaires et seuls des généraux y sont continuellement. Ses paysages sont resplendissants et sa nourriture y est appréciée.
Petite pointe de la chaîne, il est surnommé le Mont Ocre dû aux lumières dorées de la fin de journée, donnant à sa pierre un aspect sablonneux. Il n’y neige rarement et les seuls voulant le gravir sont les alpinistes amateurs et confirmés.
A mi-parcours, un chalet se présente. Il est du commun du fait de l’absence de gérant. Des provisions y sont montées par certains, de l’argent est laissé par d’autres. Il possède trois chambres distinctes pouvant accueillir jusqu’à quatre voyageurs.
Il s’ouvre entre deux flans, ce gouffre ardent. Point culminant d’un volcan, la braise en jaillit de temps à autre sans qu’aucune analyse y soit faite. Les scientifiques ont proscrit l’accès au gouffre, par sécurité et par mystère.
L’armée a établi son camp en bas des montagnes et y accueille des volontaires ou des soldats forcés à participer à l’invasion des territoires ennemis. Peu visible de l’extérieur, on ne peut y accéder par hasard.
Dans un ancien bunker on été installés des ordinateurs et des services de localisation. Simulations en tout genre, par équipe des officiers s’entraînent sur les meilleures stratégies à établir lors d’une potentielle attaque.
Sous terre, une cave aux planches trouées. Des bruits sourds y résonnent, des bruits de tir. Faute de matériel, il a été décidé que ce lieu serait la salle de tir. Les armes sont détenues au même endroit, fermement surveillé.
Entre Japuri et Forlasea, on remarque des zones différentes que toutes ces constructions, des zones de découvertes et d’aventure qui ne demandent qu’à être explorées, bien qu’on ne puisse y arriver que par ses propres moyens.
Une terre rouge et craquelées, du sable pour guérir ses blessures. Seuls des piliers électriques y trônent en maître et quelques voitures font gicler ce sable incessant. Recouvrant une petite partie du territoire, les terres arides sont lieux de fantasmes.
L’industrie étant une grosse partie de l’économie de Brunhilde, elle nécessite des ressources qui sont produites dans les zones agricoles. On y fait pousser des céréales modifiées, des légumes verts et aussi des légumes saisonniers.
Des fois qu’on s’y perde, on peut se retrouver face à lui. Cet arbre aux veines ressorties et aux feuilles violacées. On l’appelle l’arbre de vie car il semblerait ne jamais flétrir, hiver comme été il est toujours sur pied.
IMAGES DE : jubjubjedi | Thung-Monster | dreamgraphicss | M-Delcambre | Rellakinoko | guava-pie | onestepart | Shoz-Art | Tohad |
| | | Mar 24 Jan - 13:43 Admin - Spoiler:
>>> LEOQUADIA : - Spoiler:
Ville-mère : Avanam www- Palais Royal www
- Bureau des héritiers (lieu invisible, seulement pour les membres des familles royale) www
- Salle de bal www
- Scène holographique www
- Hall www
- Rue du Dial. www
- Bar "Les Alizées" www
- FastFood "Gordost" www
- Boutiques prêt-à-porter www
- Avenue Korona www
- Restaurant 5 étoiles "Kastech" www || www.
- Boîte de nuit "Le Plamya" www
- Grand couturier www
- Quartier du Tsô www
- Zone résidentielle (peuple & chevalier) www
- Ecole www
- Gare www
- Quartier d'Imiche www
- Zone Résidentielle (marquis, baron, comte, vicomte) www
- Caserne www
- Hopital Serdt www.
- Quartier Nymhu www
- Zone Résidentielle (famille royale & duc) www
- Centre des nouvelles technologies www
- Jardin élevé www
Mines : Sedon wwwCENTRE VILLE : www>>Parc Buket www>> Assemblée des métiers. www— Bureaux www— Souterrains (invi, seulement pour traîtres, infiltrés) www>> Grande Rue. www— Cabaret de l'Envie www (genre on peut changer la vue pck c que de l'écran) QUARTIER STRANY : www>> Zone résidentielle www>> Parc à drones www>> Cyber-café. wwwBORD DE MER : www>> Caverne délaissée www— Faille du Temps (invisible sauf si débloque un truc, genre si des gens entrent dans la caverne) www>> Plage www>> Marché au poisson www— Réserve : Dola www
- Port www
- Zone d'arrivée www
- Enceinte militaire www
- Parc d'attraction www
AUTRES LIEUX : www>>> Chute élevées www— Tour de l'oubli www
- DESCRIPTION DANS L'ORDRE:
Un concentré de technologie en une métropole. Coincée dans les débuts des chaînes montagneuses, Avanam resplendit par son architecture futuriste et sa qualité de vie indéniablement meilleure que la plupart des autres villes.
Les rues mélangent verdure et blancheur extrême d’un acier modifié. Du verre pour la luminosité et des quelques transports automatisés, le centre ville d’Avanam donne l’aperçu d’un futur prodigieux et merveilleux.
La salle d’arcade est le lieu de divertissement. Entre nouveautés et machines de l’ancien temps, les habitants y prennent et reprennent plaisir sous des néons criards et des cris de victoire. Elle accueille aussi un cinéma et un laser game.
Une porte exagérée mène à une salle de cinéma où les plus grands films sont projetés. Il est géré automatique et ne ferme jamais ses portes, proposant une séance lorsque la précédente vient de se terminer.
Se perdre dans un labyrinthe noir et incompréhensible, faire équipe et toucher de près aux principes de la guerre sans pouvoir blesser autrui, tel est le but du laser game. La salle peut contenir jusqu’à quarante joueurs, pour des sessions de trente minutes.
Monument de la royauté se hissant vers les étoiles, le palais offre une vue d’ensemble d’Avanam en plus de ses pièces incroyables. Y résident les représentants de la royauté et leurs servants, d’où la garde excessive à l’entrée.
Foyer des décisions et des communiqués, le représentant majeur préside l’assemblée des hériters afin de contrôler le territoire de Sajna. Elle est parfois le théâtre de caprices d’une des sept familles royales.
Des colonnes de verres sur la hauteur, une voûte délicatement décorée tout comme le sol et des corps s’entraînent dans des danses courtoises. Réceptions, célébrations, tout est prétexte pour l’utiliser.
A première vue, c’est un simple socle, mais de temps à autres des hologrammes en sortent comme par magie. Tout peut être reproduit via cette plateforme nommée scène holographique. Elle peut aussi être utile pour la recherche d’information.
Au rez-de-chaussé, des fauteuils sont organisés entre des piliers de bois et des tapis bohèmes. Murmures et ragots, attente interminable, les civils peuvent s’y poser pour toutes les raisons du monde tant qu’ils ne prétendent pas mal à la couronne.
C’est une rue semi-couverte qui se prolonge jusqu’à un horizon indéfinissable. Par à-coups la lumière du jour vient trancher les corps et l’ombre vient l’envelopper. La rue du Dial est mythique, connue de tous pour sa forme plus que particulière.
Ce petit bijou est un ancien magasin de drogue réinvesti dans un bar à l’ambiance grunge et pop. Les murs sont restés tels qu’ils l’étaient et quelques décorations lumineuses ont été ajoutées. Le paradis des fêtards et des insomniaques.
Les comptoirs s’alignent parfaitement sous des néons bleutés, les queues éparpillées mais c’est ici que l’on mange le meilleur du « sur-le-pouce ». Hamburger, salade pour les plus prudents ou début de cuisine moléculaire pour les plus audacieux.
Sur une centaine de mètre, un tas de boutiques de prêt-à-porter se dévoile. Femmes, enfants, hommes, en passant du plus casual au plus sophistiqué, les commerçants proposent un large choix de textile prédéfinis.
Korona est la richesse. Korona est loin de ces misérables magasins. Ce sont des spots, des rues refaites tous les mois s’il le faut. Avenue de l’opulence et du raffinement, elle est surtout fréquentée par les plus riches.
Hors du temps se trouve ce petit bout de paradis aux lumières suspendues, à la verdure extraordinaire. Certainement le plus grand chef de toute cette île qui s’est décidé à servir les Leoquadia avec des mets des plus exquis.
On ne sait ce qui s’y trame, entre les poles danseuses, les ivres morts, les barman éreintés et cette fumée omniprésente. Entrée menant dans un souterrain bien agencé, le Plamya est sûrement la boîte la plus prisée ces derniers temps.
Si l’on comptait de nombreuses boutiques de prêt-à-porter, on compte aussi un grand couturier à Leoquadia. Bien que porté sur la technologie, la monarchie n’en oublie pas moins ses habitudes des plus éternelles.
Quelques bennes par là, quelques démunis par ici. A Tsô on connait bien la valeur du mot fortune puisqu’ici personne ne la possède. Ce sont ceux qui ne se plaignent pas de leur condition mais qui restent néanmoins plus loin du pouvoir que tous.
Peuple de Leoquadia ou bien chevalier prêt à se sacrifier, ici ils résident en paix et en harmonie dans des bâtiments hauts et blancs. Accès à la culture, aux ressources élémentaires, ils doivent tout de même se déplacer bien souvent pour subvenir à leurs besoin.
L’école regroupe toutes les classes dans le même bâtiment. Répartis sur près de vingt-cinq étages, chaque niveau possède sa salle et ses annexes, ce qui permet une liberté tout en gardant le contrôle sur l’ensemble des élèves.
Prendre le train est une habitude pour certains, un calvaire pour d’autres. Avanam étant à la naissance des montagnes, aucun train ne circule au-delà de celles-ci, et ils desservent uniquement le sud et l’ouest de la ville.
Imiche est le quartier de la légèrement, des murs translucides et des voûtes. Mélangeant technologie, sécurité et architecture moderne, le quartier est l’un des plus importants d’Avanam, le plus touristique aussi.
Les résidences sont privées. Piscine, jacuzzi ou jardin, accordé à une maison des plus originales, elles accueillent les hauts de la société tels les barons ou les vicomte. Ceux dont on ne saurait remettre en question la richesse.
Contrairement aux autres services, la caserne est située sur différentes bases d’immeubles afin de permettre une sortie plus rapide des véhicules de secours. Portes blindées et signe distinctif, elles sont le must de la sécurité.
C’est un peu le centre de la vie. L’avancée prodigieuse au niveau technologique a permis aux Leoquadia de se distinguer sur le plan médical, en pouvant notamment soigner des maladies jugées incurables jusqu’à peu, et permet à tous de continuer à profiter de la vie.
Ce sont de larges avenues, des tours striées et des arbres bien taillés. Les passants admirent et jalousent les habitants de ce quartier, sachant pertinemment qu’ils ne pourront jamais les rejoindre. Nantis et membres de la royauté l’envahissent.
Ce ne sont plus des appartements, ni même des maisons mais plus des villas au terrain pharamineux, aux décorations exagérées. Tout a été ordonné sur commande lors de la création du territoire. Quelques-uns préfèrent au terrain des hologrammes variables.
Lieu incontournable, toutes les innovations, les projets et inventions sont proposés ici même. Entre musée et laboratoire, cet édifice fait joindre le monde civil et scientifique à merveille. Quelques objets sont plus précieux qu’autre chose et donc protégés.
Il a fallut du temps pour créer une telle biodiversité dans des structures d’acier. Ce sont des petits paradis sur terre, où l’on se retrouve face à soi-même et au monde que l’on a abandonné derrière les guerres et les bombes. Derrière nous.
Plus au Sud, sur les côtes de l’île face au territoire d’Akikos, la ville de Sedon montre aux autres sa puissance inébranlable. Articulée autour d’un Golfe, la ville est sans dire la plus avenante de toutes. Loin des flux massifs de la ville-mère, la mine de Leoquadia est un havre de paix.
En son centre, des centaines de boutiques expérimentes les nouvelles technologies. Il n’est pas rare de voir des publicités sur écran holographique, des tapis roulants sur les trottoirs ou même des entrées d’immeubles à reconnaissance faciale. Tous son habitués à voir leur ville se transformer.
Futuriste et simple, le parc offre diverses atmosphères, séparées par des petits tunnels. Jardin japonais, jardin français ou simple espace vert entouré de haies taillées de toutes formes, tous ceux qui veulent s’enfuir du monde peuvent espérer y trouver du réconfort.
Ce fabuleux bâtiment regroupe près d’un millier de société à la fois. A vrai dire, il s’agit plus d’un lieu de réunion où toutes peuvent se rencontrer loin des regards indiscrets et en toute discrétion. Chaque société possède son bureau ainsi que son représentant, destiné à rester cloîtrer ici.
Les portes closes et métalliques signifient que l’on se trouve au bon endroit. Ces portes ne sont pas anodines, elles sont étroitement liées et pourtant aucune ne mène à la même salle. Des bureaux distincts mais peu spacieux dans lesquelles tous peuvent communiquer.
Ce que l’on sait moins mais que tu trouveras sans trop d’effort, c’est que ce monde regorge de secrets, d’endroits inédits. Peut-être as-tu déjà emprunté ces escaliers rouges qui menaient à des bassins intriguants et alors, peut-être as-tu déjà découvert les souterrains.
Comme son nom l’indique, la Grande rue est la plus longue de tout Sedon. On y retrouve restaurants, magasins en tout genre mais surtout des lieux de divertissements originaux et légèrement démodés qui font tout de même la fierté de cette ville de bord de mer.
A l’envie, on joue sur les perceptions. Sur les couleurs et les sentiments. Dès que l’on y rentre, cette sensation de se trouver dans un autre monde surprend. Des spectacles autour d’un thème différent chaque jour, des spectacles où la pièce entière se retrouve plonger ailleurs.
Plus vers les terres, on retrouve le quartier voué au logement et au bien-être des civils. Pas de société, pas de concurrence, simplement des appartements dotés d’une vie incroyable ou pitoyable, des commerces de proximité et de quoi s’amuser pour les plus démunis.
Les tours peuvent toucher les cent étages, on ne distingue même plus les fenêtres et pourtant, c’est bien ici que le peuple de Sedon a élu domicile. Aucune distinction entre les plus grands et les plus faibles, si ce n’est le prix du loyer, car à Sedon, ce qui importe c’est l’économie.
Une vaste étendue qui se prolonge vers des terres inconnues et de petits drones qui s’amusent à virevolter les uns au-dessus des autres. Face à l’augmentation fulgurante de leur vente, il a été décidé d’y dédier un terrain afin de ne pas provoquer de troubles au sein de la ville.
Le cyber café est nouvelle génération, les claviers se bougent à volonté et les écrans flottent au dessus d’une barre de projection. Beaucoup de jeunes viennent jouer à leurs jeux par groupe ou seul après les cours, et quelques malins viennent y trafiquer.
Cette odeur perpétuelle, c’est celle de la mer. Cet air frais et envoûtant, cette eau limpide qui ne demande qu’à être naviguer. Le Golfe de Sedon est un formidable lieu pour la jet set qui s’y installe en yacht, levant leurs verres à la luxure de ce monde détruit.
Lorsque le Golfe rejoint l’océan, une ouverture est visible. Personne ne sait ce qui s’y cache ni même ce qu’elle représente, car de toute manière personne n’a jamais réussi à s’y introduire à cause des rochers à son entrée et ses nombreuses vagues empêchant le passage.
En s’avançant dans les ténèbres, jaillit la lumière. Et quelle lumière saisissante. Une faille dans la roche qui semble ne cesser de s’accroître. Cette dernière démarre au plus profond du bassin et semble se diriger tout droit vers la ville, mais déjà faudrait-il découvrir son utilité.
Châteaux de sable, volley ball pour les plus sportif, nage extrême ou simplement bronzage, la plage encercle elle aussi le golfe de son sable fin et blanc. Quelques vendeurs ambulants y sont, surtout pour attirer les touristes les plus avides de faire « comme chez eux ».
Qui dit mer, dit poisson. Et qui dit poisson dit revenus potentiels. Et cela, les pêcheurs du continent l’ont bien compris, certains se sont même portés volontaires pour fuir leur pays et tenter une vie meilleure en ce territoire de Leoquadia reconstruit sur une île expérimentale.
Dola est trop, Dola est kitsh. La réserve n’avait décidément rien pour plaire, ni même sa situation géographique, ni même sa ville. Pour y remédier, des décorations excessives, allant de la colonne surjouée aux fontaines trop sophistiquée, ont été ajoutées pour y paraître plus commode.
Des bateaux arrivent plus fréquemment qu’ils n’y parait. Ils arrivent par dizaine, transportant vivres, technologies et civils. Ils sont heureux, malheureux mais ne peuvent plus reculer face à leur destin. Au-delà des ferrys, quelques barques y reviennent avec la pêche du jour.
Le port est en réalité une succession de construction sur pilotis, et l’on distingue le coin militaire du coin ordinaire. Ainsi, lorsque l’on débarque pour la première fois sur cette île si fantastique, l’accueil se fait dans ces abris sobres et surélevés à l’allure d’une prison isolée.
De l’autre côté, des bateaux remontent dans des édifices plus soignés. L’armée fait tout son possible pour paraître la plus apprêtée possible. Ainsi, les technologies les plus révolutionnaires s’y sont retrouvées pour favoriser la conquête des territoires. Et ce, le plus rapidement.
Hors des pilotis, Dola n’est qu’un gigantesque parc d’attraction à revenus monstrueux. Les ingénieurs du territoire s’efforcent de créer une nouvelle attraction tous les ans au moins, si ce n’est tous les six mois. Il arrive que des habitants de territoires ennemis s’y rendent pour le plaisir, à leurs risques et périls.
Si la technologie faisait le pays, alors il serait à lui-même une ville. Seulement, la technologie a un coût, elle est éphémère, et seuls les plus aventureux savent que derrières les frontières de celles-ci se trouve des contrées inexplorées et magiques. Des endroits fabuleux.
Sur près d’un kilomètre, les éclaboussures embuent les terres. Ces chutes sont les plus hautes du monde, à tel point que la chute y serait fatale à coup sûr. On dit que celui qui saurait y monter serait récompensé, seulement personne n’en a encore trouver le moyen.
Au plus haut, là où nul n’a su se rendre, il y a cette chose ou plutôt cette tour. Digne des films d’horreur, plus grande encore que ces immeubles d’Avanam, elle s’engouffre dans la terre sans laisser de trace, car jusqu’à présent on ne soupçonnait son existence.
IMAGES : graphicmedic |thomaswievegg | kinixuki | eliacube | dennis_yeung | emanshiu | kurobot | lrseinauto | Astral-Requin |
| | | Mar 31 Jan - 21:19 Admin FAIT DANS LE FORUM FINAL >>> DERMACH: Ville neutre // centre neutralité absolue www
- Motel des dépendances www
- Souterrain (invisible, juste pour les infiltrés/traitres)www
- Laboratoire du commencement (visible que scientifique QUI FONT PARTIE DU PROJET TOWELD) www
- descri dans l'ordre ici:
Demarch, c’est cette terre foulée par quelques âmes perdues. C’est cette terre isolée et désolée. C’est cette partie de territoire où les camps ne sont plus qu’une simple rumeur et où le seul mot d’ordre est la neutralité. Terre de la trêve et de l’abandon, elle est aussi celle du commencement.
En y allant, si l’on s’y rend, on ne trouvera rien d’autre que ce motel à l’ancienne. Il sert aussi de brasserie et de bar, mais rare sont les clients. Le propriétaire est un ancien, il aime raconter des histoires palpitantes sur la vie d’avant. Sur l’évolution de la condition humaine.
Sous Demarch il y a un tas de chose, comme une ville disparue. Tant de trésors que seuls les infidèles peuvent trouver. Carrefour entre tous les territoires, il permettrait de se rendre au plus loin des frontières sans crainte d’identité, sans crainte de se faire attraper.
Scientifiques. Révolutionnaires. Emerveillez-vous devant ces êtres dénaturés que vous avez créer. Contempler la grâce d’un monde bouleversé. Inventez. Faites de cette nature une dénature, pour qu’enfin les monstres deviennent normalité et que tout soit détraqué.
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| | | Jeu 23 Fév - 14:26 Admin - Spoiler:
DESCRIPTION ELIAPEHE : www Sans aucun doute, vous croiserez des sentiers battus et des forêts à perte de vue. Dans le territoire d’Eliapehe, on ne jure que par la simplicité des choses, par des architectures d’autrefois et par la beauté seule de la nature qui a dominé par des feuilles de toutes formes et des troncs de tous les bruns. DESCRIPTION AKIKOS : wwwPour la première fois, Akikos a su déterminer son style. Tous les pays-membres enfin unis dans des villes aux airs passés, ce qui n’était décidément pas le cas sur le continent. Ils sacrent le ciel, ils sacrent leur eau mais aussi leurs plaines et leurs montagnes, faisant de ce territoire une véritable merveille. DESCRIPTION LEOQUADIA : www || wwwLe vaste territoire de l’Est prouve encore sur l’île qu’il domine par sa technologie. Ce lieu de concentré technologique, ce lieu paraissant égoïste et protégé, offre à ses habitants la meilleure des vies qu’il puisse exister en cette terre d’exil. En dehors des villes, on raconte que la terre y est pure, que nul ne l’a foulée, mais à qui la vérité ?
- Spoiler:
DESCRIPTION BRUNHILDE : wwwBrunhilde est a double tranchant, d’un côté les usines machiavéliques crachant avec effroi leur fumée noire et de l’autre cette verdure recouvrant les plaines, ces morceaux de vie égarés dans l’immensité de ce territoire si méconnu qu’il en deviendrait terrifiant, inaccessible et pourtant attirant.
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| | | Sam 25 Fév - 15:18 Admin - Spoiler:
Dans Eliapehe : — Salle de réunion ==> Visible seulement pour ceux qui sont du gouvernement. — Les souterrains => Visible pour ceux qui sont pas dans leur bon truc. Genre un Akikos chez les Eliapehe. — Archives de la bibli => A débloquer. (genre on donnera une mission) A rajouter dans Weefalls, Quartier d’isit : >> Zone Résidentielle wwwDescription : Pour le peu qui a décidé de s’installer dans le quartier d’Isit, la vie est plutôt sereine. Un dédale de portes sans fenêtres, des toits souvent plats qui permettent une vue d’ensemble sur cette cité radieuse. Loin des lieux de résidence où tous se connaissent, ici on privilégie son intimité et celle des autres pour finalement rester à l’écart des ragots mensongers. A rajouter dans Rebrook, >> Hôtel des Dames wwwDescription : La réserve étant plus le lieux des hommes que des femmes, les propriétaires de ce piètre hôtel décidèrent de changer les règles. L’hôtel des Dames est situé sur le bas de la montagne, offrant une superbe vue. Le peu de chambre disponible n’empêche pas un bon roulement, car il est vrai qu’il est rare d’y rester plus de trois jours. Dans Leoquadia : — Bureau des héritiers ==> Visible seulement pour ceux qui font parti d’une famille royale. — Souterrains ==> Visible seulement pour ceux qui sont pas dans leur alliance. Genre un Brunhilde à Leoquadia. — Faille du Temps ==> A débloquer par mission, ou si des gens entrent dans la caverne (à une telle heure ?) A rajouter dans Dola, >> Hôtel Lusso wwwDescription : Pour accueillir les plus fortunés, pour faire vivre cette ville si lointaine, l’idée fut de construire un lieu d’accueil des plus pimpants, des plus onéreux. Tel un manoir caché sous une forêt artificielle, des vitraux filtrant la lumière, l’Hôtel Lusso a su ravir les petits et les grands, avides de richesse et de découverte en leur proposant des suites des plus luxueuses.
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Dans Akikos : — Catacombes ==> Visible seulement pour ceux qui sont pas dans leur alliance. Genre un Eliapehe à Akikos. — Archives ==> A débloquer par mission. — Salle des glaces ==> A débloquer par mission — Oeil du Diable ==> A débloquer à une certaine heure dans le Lac Rilique (Acrylique dsl) A rajouter dans Siali, >> Auberge Teera wwwDescription : Toujours prête à héberger, l’auberge de Siali n’est qu’un bâtiment comme d’autre au milieu de la vielle presque en ruine. Réaménagée sur plusieurs étages, elle bénéficie de modestes chambres sans grand intérêt si ce n’est celui de séjourner dans la ville. Elle fait aussi office de restaurant à ses heures perdues, pour arrondir les fins de mois. Dans Brunhilde : — Salle des gouverneurs ==> Pour ceux qui sont du gouvernement. — Tunnel sous la mer ==> Visible seulement pour ceux qui sont pas dans leur alliance. Genre un Leoquadia à Brunhilde. — Salle des commandes ==> A débloquer par mission. A rajouter dans Korde, >> Motel Vadrian wwwDescription : De nuit, le panneau indique ce motel lugubre. Un simple parking qui amène a des bungalows, un accueil glacial tandis que certains tentent tant bien que mal de rester discret dans leurs chambres. Ancien bâtiment militaire, il a été repris pour ne pas en faire des ruines, seulement seuls des jeunes en quête d’aventure osent vraiment s’y rendre. |
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